Mardi soir, à la Halle de Béré, Sébastien Rétif, président de Misas Sénégal remettait à Francine Leca un chèque d'un montant de 24536 €, le fruit de la collecte « Actions Coeur » sur le Pays de Châteaubriant depuis la rentrée.
Devant un parterre de 300 personnes, Francine Leca a dit et redit l'importance de l'argent dans l'action menée par Mécénat Chirurgie Cardiaque depuis sa création en 1996 « Plus on a d'argent, plus on opère d'enfants, c'est mécanique, les demandes augmentent et chaque année, un peu plus d'enfants sont opérés ». Le professeur de plus de 70 ans, ancien chef de service à l'hôpital Necker est infatigable pour défendre la cause des enfants souffrant de pathologies cardiaques de par le monde. Lors de la conférence, Olivier Baron, chef du service de chirurgie cardiaque du CHU de Nantes a parlé du cas précis de Samba, dont la CIV nécessitait une opération conséquente. En réanimation, une problème est survenu, la valve tricuspide réparée a lâché, il a fallu recommencer « Cela veut dire, à nouveau le bloc, à nouveau ouvrir en grand et confier la vie de l'enfant à la machine cœur-poumon le temps de réparer la valve défaillante. Il ne s'agit pas de poser une prothèse comme on peut le faire pour un patient français, ce qui demande une surveillance et une médicamentation à vie. Il faut penser aux suites, au retour dans son pays» .
Plus tôt dans la journée, Francine Leca a pris le temps d'échanger avec des élèves de première S à la Médiathèque, puis de rencontrer 200 collégiens de 5è. Il es rare qu'elle se dé
Devant un parterre de 300 personnes, Francine Leca a dit et redit l'importance de l'argent dans l'action menée par Mécénat Chirurgie Cardiaque depuis sa création en 1996 « Plus on a d'argent, plus on opère d'enfants, c'est mécanique, les demandes augmentent et chaque année, un peu plus d'enfants sont opérés ». Le professeur de plus de 70 ans, ancien chef de service à l'hôpital Necker est infatigable pour défendre la cause des enfants souffrant de pathologies cardiaques de par le monde. Lors de la conférence, Olivier Baron, chef du service de chirurgie cardiaque du CHU de Nantes a parlé du cas précis de Samba, dont la CIV nécessitait une opération conséquente. En réanimation, une problème est survenu, la valve tricuspide réparée a lâché, il a fallu recommencer « Cela veut dire, à nouveau le bloc, à nouveau ouvrir en grand et confier la vie de l'enfant à la machine cœur-poumon le temps de réparer la valve défaillante. Il ne s'agit pas de poser une prothèse comme on peut le faire pour un patient français, ce qui demande une surveillance et une médicamentation à vie. Il faut penser aux suites, au retour dans son pays» .
Plus tôt dans la journée, Francine Leca a pris le temps d'échanger avec des élèves de première S à la Médiathèque, puis de rencontrer 200 collégiens de 5è. Il es rare qu'elle se dé