Les Régions ont un rôle fondamental à jouer dans le cadre d’une nouvelle gouvernance maritime. la Bretagne propose de mettre en place des « conférences régionales de la mer et du littoral », à l’image de celle installée par le Conseil régional dans le cadre de la Charte des espaces côtiers bretons, que complèterait une conférence annuelle, organisée par l’Etat, à l’échelle des façades. Nous demandons une expérimentation en Bretagne.
Faire du développement des énergies marines renouvelables une priorité politique
La France doit faire du développement des énergies marines renouvelables une priorité politique. Ceci passe par une consolidation de la dynamique initiée par IPANEMA et par une politique publique qui reposera sur trois piliers : investissement sur la recherche, le développement et l’innovation ; outils pour l’appropriation collective ; accompagnement d’une filière industrielle.
Faciliter l’installation des jeunes pêcheurs
Le secteur de la pêche doit poursuivre sa mobilisation, avec l’appui des pouvoirs publics, pour développer des solutions de pêche durables. Ces dernières seront hypothéquées si une jeune génération de pêcheurs ne prend pas le relais : l’installation des jeunes doit être encouragée, par un dispositif d’accompagnement redéfini et par une réflexion en profondeur sur le prix du navire, afin de le déconnecter de la valeur de son « permis de mise en exploitation ».
Jouer la carte de l’ouverture pour attirer vers les métiers de la mer
La Bretagne demande une réforme de l’enseignement maritime qui joue la carte de l’ouverture pour s’inscrire dans la logique de « carrières maritimes ». Cette ouverture, qui s’appuiera sur la construction de passerelles, concerne les dispositifs de formation (apprentissage, VAE, modularisation, individualisation), les métiers et les écoles. A ce titre, il faut faire des lycées maritimes une porte d’accès privilégiée aux métiers de la mer. La Bretagne est particulièrement attachée au maintien de l’école de Saint-Malo dans le cadre d’un enseignement supérieur qui devra former à la fois des officiers supérieurs et intermédiaires.
Reconnaître le préjudice écologique consécutif à une pollution marine
La France n’a pas encore organisé une reconnaissance réelle du préjudice écologique consécutif aux accidents de navires. La Bretagne demande l’établissement d’un cadre juridique clair et stabilisé pour la reconnaissance du préjudice écologique consécutif à une pollution marine.
Faire du développement des énergies marines renouvelables une priorité politique
La France doit faire du développement des énergies marines renouvelables une priorité politique. Ceci passe par une consolidation de la dynamique initiée par IPANEMA et par une politique publique qui reposera sur trois piliers : investissement sur la recherche, le développement et l’innovation ; outils pour l’appropriation collective ; accompagnement d’une filière industrielle.
Faciliter l’installation des jeunes pêcheurs
Le secteur de la pêche doit poursuivre sa mobilisation, avec l’appui des pouvoirs publics, pour développer des solutions de pêche durables. Ces dernières seront hypothéquées si une jeune génération de pêcheurs ne prend pas le relais : l’installation des jeunes doit être encouragée, par un dispositif d’accompagnement redéfini et par une réflexion en profondeur sur le prix du navire, afin de le déconnecter de la valeur de son « permis de mise en exploitation ».
Jouer la carte de l’ouverture pour attirer vers les métiers de la mer
La Bretagne demande une réforme de l’enseignement maritime qui joue la carte de l’ouverture pour s’inscrire dans la logique de « carrières maritimes ». Cette ouverture, qui s’appuiera sur la construction de passerelles, concerne les dispositifs de formation (apprentissage, VAE, modularisation, individualisation), les métiers et les écoles. A ce titre, il faut faire des lycées maritimes une porte d’accès privilégiée aux métiers de la mer. La Bretagne est particulièrement attachée au maintien de l’école de Saint-Malo dans le cadre d’un enseignement supérieur qui devra former à la fois des officiers supérieurs et intermédiaires.
Reconnaître le préjudice écologique consécutif à une pollution marine
La France n’a pas encore organisé une reconnaissance réelle du préjudice écologique consécutif aux accidents de navires. La Bretagne demande l’établissement d’un cadre juridique clair et stabilisé pour la reconnaissance du préjudice écologique consécutif à une pollution marine.