Deux après l’heureuse initiative du musée d’Argentomagus (Saint-Marcel – Indre), Jublains reprend un thème qui interpelle, attire ou repousse, mais ne laisse pas indifférent. La magie est, par essence, même un domaine mystérieux pour la plupart d’entre nous, aussi que dire de la magie telle qu’elle est pratiquée, il y a presque 2 000 ans, dans une société qui nous est aujourd’hui étrangère ?
Les sources textuelles, œuvres littéraires, historiques ou traités de magie, sont les plus sûrs moyens de connaître ces pratiques qui laissaient peu de traces. Pourtant, les découvertes archéologiques ont fourni une foule d’objets communs ou précieux, instruments de rituels, talismans et productions de magiciens. L’exposition organisée par le Musée archéologique départemental de Jublains rassemble les objets qui, comme des clés, ouvrent quelques unes des portes de ce domaine aux facettes multiples. Elle s’intéresse au portrait de ces magiciens connus ou anonymes, et tente de le tracer s’inspirant de quelques biographies divines, mais aussi en rassemblant quelques objets et instruments liés aux rites magiques. Le mobilier d’une cache du magicien de Chartres, découverte en 2005 et présentée pour la première fois au public, constitue un témoignage spectaculaire de ces rituels au cœur de la Gaule Romaine.
Les sources textuelles, œuvres littéraires, historiques ou traités de magie, sont les plus sûrs moyens de connaître ces pratiques qui laissaient peu de traces. Pourtant, les découvertes archéologiques ont fourni une foule d’objets communs ou précieux, instruments de rituels, talismans et productions de magiciens. L’exposition organisée par le Musée archéologique départemental de Jublains rassemble les objets qui, comme des clés, ouvrent quelques unes des portes de ce domaine aux facettes multiples. Elle s’intéresse au portrait de ces magiciens connus ou anonymes, et tente de le tracer s’inspirant de quelques biographies divines, mais aussi en rassemblant quelques objets et instruments liés aux rites magiques. Le mobilier d’une cache du magicien de Chartres, découverte en 2005 et présentée pour la première fois au public, constitue un témoignage spectaculaire de ces rituels au cœur de la Gaule Romaine.